16 mai 2005
Seins
Le sein,
Lumière qu’irise le satin d’un sein
En l’auréole d’une volupté visuelle,
Pensées fugitives qui m’ensorcellent
Et m’électrisent le creux des reins.
Ô joyaux somptueux et divins
Qui se conjuguent au féminin,
Et laissent sous leurs caresses
Une douce et sensuelle liesse.
La bouche apaisée, j’irai goûter,
Leur rosée, élixir que l’amour
Distille, je me sens envoûter
Par ces juteux fruits lourds.
Encore et toujours l’aller biser,
Tel l’homme en mal d’enfance
Et comme l’amant va l’attiser
Jusqu’à l’étourdissement des sens.
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M
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